A notre ami Jean-Jacques HERMANN 54-58



Jean-Jacques nous a quittés, dans sa soixante-dixième année, le 18 janvier 2007, par suite d’une maladie incurable et foudroyante.


Notre pensée va en premier lieu, à sa femme Monique, ses trois filles ses six petits enfants, son frère, ses proches et ses amis à qui il laisse maints bons souvenirs et regrets.


Arrivé en 1954 à Cap Matifou avec son copain SAHARI (très important), tous deux originaires de MARENGO, il en sortait en 1958 avec son brevet d’électricien.


En ALGERIE, il travaille à l’A.I.A de BLIDA, effectue son service militaire dans l’armée de l’air puis entre en France


Peu après, suite à concours, il accède au poste de professeur d’électromécaniques au lycée de MIREPOIX.   Jean-Jacques est apprécié de tous : à l’intérieur par sa compétence et à l’extérieur par sa gentillesse, par sa disponibilité à rendre service et  par sa participation (et son implication) dans la vie associative de la région.


Pour ne pas faillir à la réputation d’excellent footballeur qu’il avait à l’école de l’air, il a continué dans cette voie en animant l’équipe de foot des jeunes de MIREPOIX.


Les habitants de la ville, reconnaissants, ont assisté en masse à son départ vers un monde meilleur. Jean-Jacques est enterré au cimetière de FREYCHENET, petit village ariégeois natal de madame HERMANN.


Jean-Jacques, on ne t’oubliera pas.


Le souvenir de ton allure dégingandée, de ta gentillesse, des parties de foot, de la balle de tennis que tu avais constamment dans la poche de ta blouse bleue, balle que tu shootais inlassablement contre le mur aveugle de la classe pendant les récréations, de tes démêlés avec le surveillant général et j’en passe, ne peuvent s’effacer de nos mémoires.


Au revoir « Bombyx »


Tes copains  de l’ENPA.



Je viens de parcourir l'hommage à JJ HERMANN notre ami à tous.


J'ai remercié notre ami Armand pour ce texte reflétant parfaitement le personnage.


Il a été prés de nous durant quatre ans, discret, gentil, mais toujours là ou on l'attendait

.

Je le revois assis par terre contre le mur de classe, au soleil, étalé de tout son corps souple comme un roseau, souriant, aimable.


Puis la séparation longue mais toujours sa présence!


Une rencontre à Toulouse avec Féménia, David, Caballéro, Gallardo, Serra, Lopez jp.pour quelques petites heures de bonheur ensemble, un échange d'adresse et plein de regrets de ne pas avoir donné de suite .


Mais toujours sa présence.


Nous l'imaginions auprès de ses élèves et le comparions à nos chers moniteurs d'atelier" là-bas" toujours le sourire et la gentillesse.


Et maintenant nous apprenons que tu n'es plus, cependant pour nous tu seras toujours présent.


Adieu l'ami.


Excuse ce discours mais je tenais aussi à te faire savoir que cet homme était BON.


JP CRUANES